Ahmed Ali Barreh, un ambassadeur qui divise !
"En vérité, nous rêvons d'une patrie où chacun parle la langue de l'autre et où tout le monde épouse la culture de l'autre: A quand la seconde république ?"
Avez-vous entendu parler des étudiants djiboutiens résidant au sein d'un même pays étranger et fréquentant les mêmes enseignes universitaires en train de célébrer séparément l'indépendance nationale juste parce qu'ils sont ethniquement différents ?
Peut-on considérer que les représentants locaux de nos institutions nationales en l’occurrence les ambassadeurs ou autres consuls soient incompétents et incapables de jouer leur rôle de républicains en vue d'assurer la cohésion sociale et l'unité nationale d'un groupe donné ?
Que faire alors quand un ambassadeur et son Consul fêtent l'indépendance nationale avec Hassan Gouled et refusent de la fêter avec Ahmed Dini ? Oui, que dire de ces responsables politiques déguisés en diplomates rongés par les démons claniques du passé dédaignant à un groupe d'étudiants ethniquement identifié de participer à cette fête à condition qu'ils se plient à la volonté de leurs confrères qui sont reconnus et sponsorisés ?
N'est-ce pas le rôle d'un diplomate, sourire et réconciliation, de trouver une solution à toute situation de crise entre deux groupes d'étudiants en discorde ? Ou doit-il prendre partie et fêter avec les uns comme si les autres n'avaient rien à voir avec la république ?
Lors de leur visite au Soudan, au courant de l'affaire, pourquoi l'ambassadeur en titre Mohamed Ali Issa et la députée Hasna Houmed Bilil ne se sont ils pas empressés de soumettre le litige en question aux autorités djiboutiennes et souligner l'incapacité du diplomate djiboutien au soudan à résoudre une affaire aussi bénigne en soi et dangereuse pour la survie de la république ?
Apparemment, on se croirait à la diaspora canadienne ou anglaise de Djibouti un certain temps où l'indépendance était célébrée non pas dans l'union et la liesse en tant que djiboutien mais une indépendance où des clans fêtaient dans leur terroir revendiquant chacun le drapeau pour soi alors qu'il nous appartient à tous et nous unit par dessus tout?
Boycottés par leur propre ambassadeur qui leur interdit désormais d'accéder à l'ambassade , ces étudiants au Soudan m'ont envoyé des photos qui parlent d'elles mêmes d'une indépendance célébrée à deux endroits dans un seul pays. Je vous expose bientôt leur courrier et pétition. Je ne fais ici que mon travail de républicain, que personne ne se sente visé dans la guerre qu'on mène contre le tribalisme.
Aidez-nous à combattre tous les ennemis de la république qui qu'ils soient !
Vive la république de Djibouti !
Vive le peuple djiboutien uni dans leur diversité culturelle et linguistique !
Que faire alors quand un ambassadeur et son Consul fêtent l'indépendance nationale avec Hassan Gouled et refusent de la fêter avec Ahmed Dini ? Oui, que dire de ces responsables politiques déguisés en diplomates rongés par les démons claniques du passé dédaignant à un groupe d'étudiants ethniquement identifié de participer à cette fête à condition qu'ils se plient à la volonté de leurs confrères qui sont reconnus et sponsorisés ?
N'est-ce pas le rôle d'un diplomate, sourire et réconciliation, de trouver une solution à toute situation de crise entre deux groupes d'étudiants en discorde ? Ou doit-il prendre partie et fêter avec les uns comme si les autres n'avaient rien à voir avec la république ?
Lors de leur visite au Soudan, au courant de l'affaire, pourquoi l'ambassadeur en titre Mohamed Ali Issa et la députée Hasna Houmed Bilil ne se sont ils pas empressés de soumettre le litige en question aux autorités djiboutiennes et souligner l'incapacité du diplomate djiboutien au soudan à résoudre une affaire aussi bénigne en soi et dangereuse pour la survie de la république ?
Apparemment, on se croirait à la diaspora canadienne ou anglaise de Djibouti un certain temps où l'indépendance était célébrée non pas dans l'union et la liesse en tant que djiboutien mais une indépendance où des clans fêtaient dans leur terroir revendiquant chacun le drapeau pour soi alors qu'il nous appartient à tous et nous unit par dessus tout?
Boycottés par leur propre ambassadeur qui leur interdit désormais d'accéder à l'ambassade , ces étudiants au Soudan m'ont envoyé des photos qui parlent d'elles mêmes d'une indépendance célébrée à deux endroits dans un seul pays. Je vous expose bientôt leur courrier et pétition. Je ne fais ici que mon travail de républicain, que personne ne se sente visé dans la guerre qu'on mène contre le tribalisme.
Aidez-nous à combattre tous les ennemis de la république qui qu'ils soient !
Vive la république de Djibouti !
Vive le peuple djiboutien uni dans leur diversité culturelle et linguistique !