Sujet : « Peut-on renoncer à l’exigence d’un fondement universel de la morale 
»
Remarque : Sujet assez difficile
Analyse du sujet : Le fondement universel de la moral reposerait-il sur la raison ? sur un accord entre les hommes ?.
Le verbe « peut-on » veut dire : a t-on les moyen, les possibilités de fonder une morale universelle ?
Problème : Les hommes peuvent-ils s’élever à l’universalité dans leur règles morales ?
I) Ce qui nous amènerait à renoncer à une telle exigence :
1) Relativité de la morale
Chaque société, chaque individu, ont leur propre morale , leur propre conception du bien ,du mal .Vouloir de la fonder un moral universel, est l’exigence difficilement réalisable.
2) Historicité et particularité des morales
Chaque morale est le fruit de l’histoire de la société de l’évolution de ses mœurs ,de ses luttes internes. De ce fait vouloir établir un fondement universel de la morale, ignorer les parts d’historicité propre à chaque société, c’est vouloir mettre en place un morale valable à des peuples qui n’ont pas la même histoire .
3) DURKHEIm: Ancrage de la morale dans la réalité sociale
Notre conception du bien ,de mal est le résultats de l’éducation morale, que la société nous à dispensée.
II) Une exigence possible
1) Kant : chacun peut être un législateur universel.
On doit universaliser la maxime de notre action morale en se mettant à la place de toute individus raisonnable
2) Chacun de nous est aussi capable de transcender cette relativité morale pour faire advenir des règles morales valables pour toute individus doué de raison.
3) Ancrage de la morale dans la raison ,faculté universelle de l’individu
En faisant de la morale une réalité qui a sa source dans la raison et non dans les croyances traditionnelles, on peut légitimement penser à l’établissement d’une morale universelle.
Dernière édition par Dolyster le Dim 5 Oct 2014 - 14:44, édité 4 fois (Raison : Pour Des Bacheliers !)
»Remarque : Sujet assez difficile
Analyse du sujet : Le fondement universel de la moral reposerait-il sur la raison ? sur un accord entre les hommes ?.
Le verbe « peut-on » veut dire : a t-on les moyen, les possibilités de fonder une morale universelle ?
Problème : Les hommes peuvent-ils s’élever à l’universalité dans leur règles morales ?
I) Ce qui nous amènerait à renoncer à une telle exigence :
1) Relativité de la morale
Chaque société, chaque individu, ont leur propre morale , leur propre conception du bien ,du mal .Vouloir de la fonder un moral universel, est l’exigence difficilement réalisable.
2) Historicité et particularité des morales
Chaque morale est le fruit de l’histoire de la société de l’évolution de ses mœurs ,de ses luttes internes. De ce fait vouloir établir un fondement universel de la morale, ignorer les parts d’historicité propre à chaque société, c’est vouloir mettre en place un morale valable à des peuples qui n’ont pas la même histoire .
3) DURKHEIm: Ancrage de la morale dans la réalité sociale
Notre conception du bien ,de mal est le résultats de l’éducation morale, que la société nous à dispensée.
II) Une exigence possible
1) Kant : chacun peut être un législateur universel.
On doit universaliser la maxime de notre action morale en se mettant à la place de toute individus raisonnable
2) Chacun de nous est aussi capable de transcender cette relativité morale pour faire advenir des règles morales valables pour toute individus doué de raison.
3) Ancrage de la morale dans la raison ,faculté universelle de l’individu
En faisant de la morale une réalité qui a sa source dans la raison et non dans les croyances traditionnelles, on peut légitimement penser à l’établissement d’une morale universelle.
Dernière édition par Dolyster le Dim 5 Oct 2014 - 14:44, édité 4 fois (Raison : Pour Des Bacheliers !)